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 Et si c'était vrai

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Date d'inscription : 13/09/2006

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MessageSujet: Et si c'était vrai   Et si c'était vrai Icon_minitimeLun 9 Oct - 8:24

Fiche
Auteur Marc Lévy
Editeur Robert Laffont - 2000
Collection Best-Sellers
Nombre de pages 270 pages

Résumé
Comment réagiriez-vous en découvrant au fond du placard de votre salle de bains une rayonnante jeune femme ?
L'histoire de Lauren et Arthur défie la raison. Cette jeune femme blottie dans le placard d'Arthur l'architecte n'est pas vraiment là. Ou plutôt elle est là, mais seul Arthur peut la voir ; pourtant elle n'est ni un esprit ni un fantôme, et si elle semble joliment réelle, parle, râle et sourit, son véritable corps est au cinquième étage de l'hôpital de San Francisco, en état de coma dépassé. Un accident de voiture, six mois auparavant. Dure journée pour Arthur. D'autant qu'on commence à le prendre pour un fou : il ouvre galamment la portière passager de sa voiture… à personne, parle tout seul dans l'ascenseur qui le mène à son bureau, tient des propos abracadabrants à son meilleur ami et associé, lequel, très inquiet, lui ordonne de se reposer quelques jours.
Ces vacances tombent bien pour Arthur parce que cette femme, cette entité, bref, Lauren, l'intéresse vivement. Depuis qu'elle est dans le coma, elle qui se passionnait pour son métier d'interne en médecine, elle qui avait voué sa vie aux autres, a vécu dans une liberté mais aussi une solitude absolues, parlant sans qu'on l'entende, regardant sans qu'on la voie, touchant sans qu'on la sente. Jusqu'à ce qu'Arthur emménage dans l'appartement qu'elle occupait avant l'accident, et où elle a fini par se réfugier.
Arthur veut comprendre comment l'esprit et le corps de Lauren peuvent s'être ainsi séparés. Il s'attelle à réunir les témoignages, études, recherches disponibles sur le coma dépassé, et aidé des connaissances médicales de Lauren, tente d'imaginer une issue à cette situation pour le moins étrange. En vain bien sûr : comment pourraient-ils résoudre un des plus grands mystères de la médecine ?
Mais une amitié se noue, faite de piques (Lauren a un humour cinglant), de fous rires et des récits de leur enfance. En trois semaines de ce bonheur paisible, ça y est, ils sont amoureux. C'est alors qu'à l'autre bout de la ville, les médecins convainquent la mère de Lauren que celle-ci ne se réveillera jamais, et qu'il vaudrait mieux pour elles deux pratiquer une euthanasie. Comment s'aimer quand un des deux amants risque de disparaître dès qu'on décidera de débrancher le corps qui gît à l'hôpital ?
Il faut y croire. Il faut refuser l'inéluctable. Il faut bouger, rire, inventer. Et ils s'y emploient tous les deux avec une énergie et un enthousiasme magnifiques.
Quatrième de couverture
«Ce que je vais vous dire n'est pas facile à entendre, impossible à admettre, mais si vous voulez bien écouter mon histoire...»
Que penser d'une femme qui choisit le placard de votre salle de bains pour y passer ses journées? qui s'étonne que vous puissiez la voir? qui disparaît et reparaît à sa guise et qui prétend être plongée dans un profond coma à l'autre bout de la ville? Faut-il lui faire consulter un psychiatre? en consulter soi-même? ou, tout au contraire, se laisser emporter par cette extravagante aventure?
Et si c'était vrai?...
S'il était vrai qu'Arthur soit le seul homme qui puisse partager le secret de Lauren, contempler celle que personne ne voit, parler à celle que personne n'entend...
Une histoire tendre, une aventure pleine d'humour et de rebondissements.

Extrait
Le petit réveil posé sur la table de nuit en bois clair venait de sonner. Il était cinq heures trente, et la chambre était baignée d'une lumière dorée, que seules les aubes de San Francisco déversent.

Toute la maisonnée dormait, la chienne Kali couchée sur le grand tapis, Lauren enfouie sous la couette au milieu de son grand lit. L'appartement de Lauren surprenait par la tendresse qui s'en dégageait.

Au dernier étage d'une maison victorienne sur Green Street, il se composait d'un salon-cuisine à l'américaine, d'un dressing, d'une grande chambre et d'une vaste salle de bains avec fenêtre. Le sol était en parquet blond à lattes élargies, celle de la salle de bains étaient blanchies à la peinture et quadrillées de carreaux noirs peints au pochoir. Les murs blancs s'ornaient de dessins anciens chinés dans les galeries d'Union Street, le plafond était bordé d'une moulure boisée finement ciselée par les mains d'un menuisier talentueux du début du siècle, que Lauren avait rechampie d'une teinte caramel.Quelques tapis de coco gansés de jute beige délimitaient les coins du salon, de la salle à manger, et de la cheminée. Face à l'âtre, un gros canapé en cotonnade écrue invitait à une assise profonde. Les quelques meubles épars étaient dominés par de très jolies lampes rehaussées d'abat-jour plissés, acquises une à une au fil des trois dernières années.

La nuit avait été très courte. Interne en médecine au San Francisco Memorial Hospital, Lauren avait dû prolonger sa garde bien au-delà des vingt-quatre heures habituelles, en raison de l'arrivage tardif des victimes d'un grand incendie. Les premières ambulances avaient jailli dans le sas des urgences dix minutes avant la relève et elle avait engagé sans attendre le dispatching des premiers blessés vers les différentes salles de préparations, sous les regards désespérés de ses équipiers. Avec une méthodologie de virtuose, elle auscultait en quelques minutes chaque patient, lui attribuait une étiquette de couleur matérialisant la gravité de la situation, rédigeait un diagnostic préliminaire, ordonnait les premiers examens et dirigeait les brancardiers vers la salle appropriée. Le tri des seize personnes débarquées entre minuit et minuit quinze fut terminé à minuit trente précise, et les chirurgiens, rappelés pour la circonstance, purent commencer leurs premières opérations de cette longue nuit dès une heure moins le quart.

Avis personnel
Le livre en soi est très bon, agréable à lire dans l'ensemble. Ça reste du Marc Lévy, donc c'est facile à lire, simple. Par contre, je commence à croire que cet auteur a vraiment du mal avec les fins. Ça fait deux livres que je lis de lui et que je trouve la fin bâclée. M'enfin. Il paraît que dans le film la fin n'est pas la même. Étrange.
Bref, je lui donne trois étoiles à ce bouquin. Je lui en aurais donné quatre, mais la fin m'a fait changer d'avis.
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Mimi
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MessageSujet: Re: Et si c'était vrai   Et si c'était vrai Icon_minitimeMar 12 Déc - 13:39

Je te conseille de lire la suite : "Vous revoir."
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MessageSujet: Re: Et si c'était vrai   Et si c'était vrai Icon_minitimeMar 12 Déc - 18:08

ah cool ^^ j'irai voir pour le trouver.
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MessageSujet: Re: Et si c'était vrai   Et si c'était vrai Icon_minitime

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